Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 26

  • Gad Elmaleh : il défend le bouclier fiscal... à 50% ! Ecoutez !

    En arrivant au pouvoir, Nicolas Sarkozy avait (comme promis lors de sa campagne) limité l'impôt à 50 % des revenus (contre 60 avant), via son fameux bouclier fiscal. Lire la suite l'article

    Problème, après deux ans au pouvoir, le bouclier n'est plus en odeur de sainteté, notamment auprès de la majorité. Des élus demandent sa suspension, totale ou partielle, avant l'examen du collectif budgétaire, qui se tiendra les 18 et 19 mars prochain. L'ex-premier ministre, Dominique de Villepin, a confié dans les Echos qu'il faudrait que le bouclier fiscal soit ramené à 60 % et que le taux de la plus haute tranche de l'impôt sur le revenu soit augmenté "à 45 %, de manière transitoire". Traduction : augmenter les impôts des riches, le temps que la crise passe.

    Invité de Marc-Olivier Fogiel ce matin sur Europe 1, Gad Elmaleh, actuellement en pleine promotion de son film Coco, l'acteur s'est déclaré hostile à cette mesure. "50%, ça suffit, c'est très bien. Il est normal que les impôts des plus riches soient plafonnés. 50% c'est déjà énorme", a expliqué Gad.

    Qu'il se rassure, le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, a expliqué qu'une telle mesure était impossible, notamment pour une "question de principe". Christine Lagarde, ministre de l'Economie, a quant à elle affirmé que le bouclier fiscal à 50% avait permis de réduire les expatriations fiscales de 15% en 2007...

    Pourtant, alors que la crise fait rage, si les fonds ne proviennent pas des plus riches, ils devront bien être trouvés quelque part... Et où ? Chez les classes moyennes bien sûr !

    Mais le bouclier fiscal est une "question de principe"... Pourtant, alors que Nicolas Sarkozy laissait sous-entendre que ce bouclier à 50% permettrait de voir le retour de grosses fortunes françaises, on se rend compte que cela a simplement réduit les départs, ce qui est déjà pas trop mal...

    Jean-François Copé, chef du groupe UMP à l'Assemblée, a pour sa part estimé que la modification du bouclier porterait atteinte à notre compétitivité et encouragerait les délocalisations...

    Gad peut donc dormir sur ses deux oreilles...J.L

    Plus d'infos et voir les photos sur Purepeople.com

  • Bouclier fiscal. Sarkozy coupe court à la polémique

    Nicolas Sarkozy a tenté de mettre fin, hier, à la polémique sur le bouclier fiscal. Sa suspension ou imposer davantage les hauts revenus serait une «erreur» selon le chef de l'Etat.

    «Je n'ai pas été élu pour augmenter les impôts.» En une phrase, Nicolas Sarkozy a tranché, hier, le débat sur le bouclier fiscal qui agite la classe politique. Violemment critiqué par la gauche et le MoDem de François Bayrou, ce bouclier, qui limite le montant de l'impôt à 50% des revenus, agite la majorité depuis plusieurs jours, alors que le collectif budgétaire dans lequel un tel aménagement pourrait se glisser est étudié à partir d'aujourd'hui à l'Assemblée. Pour la première fois depuis son adoption en 2007, cette mesure emblématique de la politique de Nicolas Sarkozy a été remise en cause par un député UMP, René Couanau (député-maire de Saint-Malo), qui a annoncé son intention d'en demander la suspension. Jamais en retard d'un coup de griffe contre le président, l'ex-Premier ministre Dominique de Villepin l'a rejoint, au nom de «la justice sociale». Dans la foulée, le président UMP de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée, Pierre Méhaignerie, a évoqué une taxation exceptionnelle, pour les mêmes motifs, des revenus supérieurs à 300.000 €.

    Les élus UMP rappelés à l'ordre

    Dans le Doubs, en visite à l'usine Alstom d'Ornans, Nicolas Sarkozy a sèchement rappelé à l'ordre les personnalités de droite qui se sont prononcées pour une évolution du bouclier fiscal. Ceux «que ça démange d'augmenter les impôts (...) oublient qu'on est dans une compétition dont le but, c'est de faire venir en France (...) les gens qui ont de l'argent. C'est pas de les faire partir», a-t-il martelé, ajoutant: «Je ne veux pas enrichir Monaco, la Suisse ou l'Autriche». En cas de hausse des impôts, «qui en souffre?», a-t-il interrogé. «Pas ceux dont on augmente les impôts et qui s'en vont, mais ceux qui restent et qui n'ont plus de travail». Malgré la sortie du chef de l'Etat, le bouclier fiscal a encore monopolisé, hier, les débats du groupe UMP réuni à l'Assemblée. Après leur patron Jean-François Copé, plusieurs députés ont dénoncé les propositions de leurs collègues Couanau et Méhaignerie.

    Même Gad Elmaleh donne son avis

    Le débat n'est pas clos, puisque Pierre Méhaignerie a réaffirmé son intention de déposer un amendement au collectif budgétaire et a pris date pour la loi de finances à l'automne. Quant au PS, il a déposé une proposition de loi à l'Assemblée et lance une pétition nationale pour exiger «l'abrogation du paquet fiscal». Enfin, soutien inattendu au bouclier fiscal: le comique Gad Elmaleh. Sur Europe 1, il a jugé déjà «énorme» d'être taxé à 50%.

    Source : http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/bouclier-fiscal-sarkozy-coupe-court-a-la-polemique-18-03-2009-295190.php

  • Frédéric Bastiat Pamphlets

    Réseau Liberté

    LES BELLES LETTRES En librairie le 17 mars 200

    Présenté par Michel Leter

    Au nombre d'une dizaine (dont en particulier « Justice et fraternité », « Propriété et spoliation », « L'État », « Maudit argent» et « La Loi»), ces pamphlets parus dans diverses revues entre 1847 et 1850 prolongent utilement les Sophismes économiques (1845-48) déjà publiés dans cette collection. Toujours écrits avec la verve corrosive et jubilatoire qui caractérise leur auteur, ils conjuguent une critique de la spoliation impliquée par les premiers projets socialistes au moment de la Révolution de 1848 (à laquelle le Républicain Bastiat prend part) avec l'esquisse d'une théorie libérale de la justice sociale, soucieuse de respecter et promouvoir la liberté individuelle en économie. Ces textes, qui proposent une critique des idées étatistes et collectivistes de l'époque et qui jettent les jalons d'une théorie de la justice, achèvent de faire sortir Bastiat du purgatoire qui lui a été infligé en France, alors qu'il est si connu et apprécié à l'étranger.

    Frédéric Bastiat (1801-1850) est l'un des grands économistes français du XIXe siècle. Économiste et pamphlétaire, il_ fut é1l! ~ plusieurs reprises député des Lande~ et fut vice-président de la commission des finances. Ses positions, à l'image de ses ecrits, ont heurté ses contemporains par leur anti-conformisme : Bastiat pouvait voter tout autant avec l'extrême gauche qu'avec la droite. Ses chevaux de bataille: la lutte contre le protectionnisme et le socialisme, la défense du libre-échange et des droits de l'individu. Son œuvre eut une influence capitale sur la pensée libérale.

    Michel Leter, docteur ès Lettres, est professeur de français en Seine-Saint- Denis. Il a enseigné au Collège International de Philosophie, à Sciences Po et à l'Université Paris 8. Aux Belles Lettres, on lui doit, entre autres, Lettre à Luc Ferry sur la liberté des universités (2004) et Sophismes économiques (2006).

    Collection: Bibliothèque classique de la liberté

    Format: 13,5 X 21

    Genre: économie, document

    Pages: 416

    ISBN: 978-2-251-39049- 9

    Prix: 27 euros

     

    CONTACTS

    Société d'Édition Les Belles Lettres
    95 boulevard Raspail
    75006 Paris

    Téléphone : 01 44 39 84 20
    Fax : 01 45 44 92 88

    Contact presse: Dany de Ribas ; tél : 01 45 48 91 98 Mail: d.deribas@lesbelleslettres. com