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  • Les grèves d'étudiants, une parodie ridicule

    Lorsqu'un salarié fait grève, c'est parce qu'il estime que l'employeur pour lequel il travaille ne le traite pas assez bien en échange du travail qu'il accomplit : il s'arrête alors de travailler, en espérant que le tort qu'il crée ainsi à son employeur incitera ce dernier à mieux le traiter.

    Certains étudiants singent ce processus sans percevoir qu'ils se rendent ainsi ridicules aux yeux des personnes sensées. En effet, un étudiant ne travaille pas pour un employeur mais pour lui-même. En arrêtant de travailler, il ne nuit qu'à lui-même.

    En France, où les études sont gratuites, un étudiant reçoit tout de la Société et ne lui apporte strictement rien. Dans une Société bien gérée, les pouvoirs publics devraient donc se borner à assurer que ceux qui veulent travailler n'en sont pas empêchés par la violence, et à laisser les autres croupir dans leur bêtise jusqu'à ce qu'ils prennent conscience de la vanité de leurs actes.

    Jacques de Guenin

    Source:  http://www.liberte- cherie.com/ a2841-Les_ greves_d_ etudiant_ une_parodie_ ridicule. html

  • Bulletin d'alerte

    Jacques Attali répète à juste titre que la France serait déjà en faillite si elle n’était pas protégée par l’euro. Hélas, nos politiciens, de l’extrême gauche à l’extrême droite, n’en ont cure et refusent de toucher à l’Etat providence qui est à l’origine de nos difficultés.

    Il faut pourtant en finir avec un système qui appauvrit tous les français comme l’illustre l’exemple suivant extrait du Rapport de la Révolution bleue sur les freins à la croissance :

    « Prenons l’exemple d’un jeune âgé de 25 ans qui touche 1.200 euros net par mois, ce qui correspond à 1.900 euros pour l’entreprise en tenant compte des cotisations salariales et patronales afférentes à la santé et la retraite. On lui prélève 700 euros par mois soit 8.400 par an. Si ces 8.400 euros lui étaient reversés, il pourrait souscrire une assurance maladie (1.400 euros par an) et placer chaque année 7.000 euros pendant 40 ans au taux de 4%. A l’age de 65 ans, il aurait un capital de 725.000 euros qui lui rapporterait 29.000 euros par an, soit une retraite mensuelle de 2.417 euros par mois, sans entamer le capital transmissible à ses héritiers. Avec le régime de répartition actuel, il touchera au mieux 750 euros et ne laissera rien à ses enfants. » (1)

    En outre, ce système fonctionne comme une pompe aspirante de l’immigration subie (2). Sur ce point, reprenons cet extrait de notre bilan économique sur l’immigration :

    « 6 sur 10 des personnes originaires des pays tiers et en âge de travailler, sont oisives. Le déficit des finances publiques imputable à cette population atteint 48 milliards d'euros soit 80% du déficit total enregistré en 2004. Au niveau du PIB, elle produit 93 milliards de valeur ajoutée et consomme 126 milliards » (3)

    Au lieu de s’attaquer à ce problème central, en appliquant les propositions de la Révolution bleue (4), le Gouvernement temporise, tergiverse et tourne en rond avec les mêmes conséquences qu’avant 1789: les corporations (régimes spéciaux, magistrats, avocats, enseignants) en s’opposant aux réformes précipitent la faillite du régime tandis que les groupes gauchistes (blocage des universités) préparent l’insurrection en escomptant le renfort des banlieues (cela continue rue de la Banque tout comme les violences dans le RER de la ligne D). Clairement, le Pouvoir ne parvient plus à exercer son autorité.

    Il est donc temps d’organiser une vaste mobilisation populaire pour faire reculer les factieux qui bafouent le suffrage universel. Dans ce contexte, la Révolution bleue ne s’associera pas à des associations marginales. Il appartient, en effet, aux Parlementaires de la Majorité Présidentielle de donner le signal du rassemblement. A ce moment là, nous répondrons à l’appel tout en restant regroupés sous notre propre bannière.

    Gérard Pince

    (1) Nul ne s’aventure à contester ce chiffrage qui illustre le vice fondamental du système.
    (2) Le dernier Paris-Match nous apprend ainsi que « les populations métisses et noires représentent 14 millions de personnes ». Voila qui tranche avec les statistiques de l’INSEE affirmant que l’immigration reste stationnaire en France!
    (3) Encore une fois, nul ne s’aventure à contester ces chiffres qui résultent d’un dépouillement des données officielles!
    (4) Les médias occultent en vain nos propositions. Le rapport de la Révolution bleue sur les freins à la croissance sur Google figure en première position sur 727.000 entrées. Notre rapport sur le bilan économique de l’immigration figure depuis plus d’un an en première position sur 905.000 entrées. Tous ceux qui s’intéressent à ces sujets, et notamment les parlementaires, en ont donc forcément pris connaissance. Merci Google, merci l’Internet! De votre coté, diffusez le plus largement possible ces informations afin que les français comprennent enfin la cause de leurs malheurs et s’organisent dans le cadre de nos comités.

  • Il faut distinguer la lutte contre les drogues licites et les drogues illicites

    Il faut distinguer la lutte contre les drogues licites et les drogues illicites. Nous pouvons nous demander s’il ne serait pas raisonnable de sortir la lutte contre le tabagisme du champ d’activité de la MILDT[1], dans la mesure où si le tabac est incontestablement nocif pour la santé, il ne génère pas de délinquance en lui-même. J’estime que retenir le seul critère de la dépendance est insuffisant et conduit à rendre nos messages inaudibles et confus. Les jeux de hasard, le café, ou le chocolat, et je confesse en savoir quelque chose, entraînent une dépendance, c’est incontestable, mais à l’évidence la consommation de chocolat n’entraîne pas les mêmes conséquences pour la société et les individus. Ils ne doivent pas relever du dispositif interministériel.

    Audition de Nicolas SARKOZY, ministre de l’Intérieur, de la Sécurité intérieure et des Libertés locales (23 avril 2003)

    http://www.voltairenet.org/article9941.html


    [1] Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie