Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • President Bush Attends Dedication of Victims of Communism Memorial

     President George W. Bush addresses his remarks, Tuesday 12, 2007, at the dedication ceremony for the Victims of Communism Memorial in Washington D.C.
    c7b1aec289f8b48d1895113aa6c3b4f5.jpg

    Abstract

    We dedicate this memorial because we have an obligation to those who died, to acknowledge their lives and honor their memory. The Czech writer Milan Kundera once described the struggle against Communism as "the struggle of memory against forgetting." Communist regimes did more than take their victims' lives; they sought to steal their humanity and erase their memory. With this memorial, we restore their humanity and we reclaim their memory. With this memorial, we say of Communism's innocent and anonymous victims, these men and women lived and they shall not be forgotten. (Applause.)

    We dedicate this memorial because we have an obligation to future generations to record the crimes of the 20th century and ensure they're never repeated. In this hallowed place we recall the great lessons of the Cold War: that freedom is precious and cannot be taken for granted; that evil is real and must be confronted; and that given the chance, men commanded by harsh and hateful ideologies will commit unspeakable crimes and take the lives of millions.

    Full story: http://www.whitehouse.gov/news/releases/2007/06/20070612-2.html

     

  • MOZAMBIQUE: L’explosion de débris de munitions tue deux enfants

    MAPUTO, 18 juin 2007 (IRIN) - Deux enfants ont été tués et un troisième a été grièvement blessé le 12 juin à Maputo, la capitale mozambicaine, après avoir accidentellement mis le feu à un engin non explosé.

    Plus de deux mois après l’explosion d’un dépôt militaire de munitions, ce nouvel accident fait craindre que de nombreux engins non explosés soient encore disséminés dans la ville.

    Le 22 mars, l’explosion du dépôt de munitions de Malhazine, à 10 kilomètres du centre-ville, avait disséminé plus de 4 000 pièces d’artillerie dans 14 quartiers populaires de la ville. Cette explosion avait fait plus de 100 morts et 500 blessés et avait détruit des dizaines de maisons.

    Les trois enfants –un de 11 ans et deux jumeaux de 13 ans – vivaient à Magoanine, à environ un kilomètre du dépôt de munitions, un des quartiers les plus durement touchés par les explosions de mars dernier. Selon le quotidien d’Etat Notícias, c’est le feu que les enfants ont allumé au-dessus de la bombe enfouie dans le sol qui a provoqué l’explosion.

    L’accident du 12 juin s’est produit après que le ministre mozambicain de la Défense a annoncé que le quartier avait été débarrassé des restes de munitions de la précédente explosion, une opération qui, de l’avis de bon nombre d’observateurs, a parfois été bâclée.

    Une opération de déminage bâclée ?

    « L’opération à laquelle nous avons assistée était assez impressionnante », a expliqué Gilles Delecourt, directeur pays de Handicap International, une organisation non gouvernementale (ONG) spécialisée dans le déminage au Mozambique et qui a participé à la localisation des restes de munitions au cours des semaines qui ont suivi les explosions.

    La méthode employée par l’armée, qui consistait à faire charger par des groupes de soldats des roquettes potentiellement explosives dans des camions à fond plat, n’était pas réglementaire, a indiqué M. Delencourt, mais « il s’agissait d’une situation d’urgence », a-t-il ajouté.

    Certains observateurs ont été surpris qu’aucun n’accident ne se soit produit pendant les opérations de ramassage des restes de munitions et ont fait remarquer que, dans la précipitation, certains munitions non explosées étaient probablement passées inaperçues.

    Selon l’hebdomadaire indépendant Zambeze, plusieurs explosions se seraient produites au cours des derniers mois, mais elles n’auraient fait aucune victime. Les équipes de déminage de l’armée étaient à nouveau à pied d’œuvre après l’accident du 12 juin.

    Pour Dan Bridges, directeur pays de HALO Trust, une ONG britannique de déminage, « il sera difficile de déminer totalement le quartier sans un déplacement massif de la population et sans scruter chaque centimètre carré de terrain ».

    Il est important que les autorités gardent le contact avec les habitants du quartier, a-t-il ajouté.

    « Vous ne pouvez rechercher et traiter que les munitions qui sont répertoriées. Il faut donc une bonne cellule de renseignements, connue de la population, et une unité d’intervention d’urgence capable d’intervenir et de neutraliser ces munitions », a dit M. Bridges.

    Au cours des semaines qui ont suivi les explosions de mars, une vaste campagne d’information a été menée auprès des habitants pour les inciter à signaler à l’armée toute présence de munitions sur leur propriété, et pour leur interdire de les manipuler eux-mêmes. Cependant, certains habitants se sont plaints qu’après les premières semaines, leurs appels sont restés sans réponse.

    Des arsenaux vieillissants

    L’accident de Malhazine révèle à l’attention de la communauté internationale l’incapacité du pays à neutraliser ou à se débarrasser des centaines de tonnes d’arsenaux militaires vieillissants hérités des 17 années de guerre civile au Mozambique, un conflit qui a pris fin en 1992.

    Selon une source militaire, ces arsenaux devraient être transférés vers des zones isolées, ou détruits avec toutes les précautions d’usage, avant la fin de cette année.

    Pour les autorités gouvernementales, les explosions du mois de mars sont dues aux fortes chaleurs. Avant cet accident, au moins 18 personnes ont trouvé la mort depuis 1985 suite à l’explosion de dépôts de munitions à Maputo et Beira, la deuxième ville du pays.

    En décembre 2006, cinq personnes ont été tuées à Beira par une munition non explosée qui se trouvait enfouie dans le sol depuis l’explosion en 2003 du dépôt local de munitions.

    http://www.irinnews.org/ReportFrench.aspx?ReportId=72804

     

     

     

  • LA CIGALE ET LA FOURMI

    VERSION ANGLAISE


    La fourmi travaille dur  tout l'été dans la canicule.
    Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l'hiver.
    La cigale pense que la fourmi est stupide,  elle rit, danse et joue tout l'été.
    Une fois l'hiver  venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.
    La cigale grelottante  de froid n'a ni nourriture ni abri et meurt de froid.


    FIN





    VERSION FRANCAISE


    La fourmi travaille dur  tout l'été dans la canicule.
    Elle construit sa maison et prépare  ses provisions pour l'hiver.
    La cigale pense que la fourmi est  stupide, elle rit, danse et joue tout l'été.
    Une fois  l'hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.


    La cigale  grelottante de froid organise une conférence de presse et demande pourquoi la fourmi a le droit d'être au chaud et bien nourrie tandis que les autres, moins chanceux comme elle, ont froid et faim.


    La  télévision organise des émissions en direct qui montrent la  cigale grelottante de froid et qui passent des extraits vidéo de la  fourmi bien au chaud dans sa maison confortable avec une table pleine de provisions.


    Les Français sont frappés que, dans un pays  si riche, on laisse souffrir cette pauvre cigale tandis que  d'autres vivent dans l'abondance.


    Les associations contre la  pauvreté manifestent devant la maison de la fourmi.


    Les  journalistes organisent des interviews demandant pourquoi la fourmi est devenue riche sur le dos de la cigale et interpellent le gouvernement pour augmenter les impôts de la fourmi afin qu'elle paie "sa juste part".


    En réponse aux sondages, le  gouvernement rédige une loi sur l'égalité économique et une loi (rétroactive à l'été) d'anti-discrimination.


    Les impôts de la  fourmi sont augmentés et la  fourmi reçoit aussi une amende pour ne pas  avoir embauché la cigale comme aide.


    La maison de la fourmi est  préemptée par les autorités car la fourmi n'a pas assez d'argent pour payer son amende et ses impôts.


    La fourmi quitte la France  pour s'installer avec succès en Suisse.


    La télévision fait un  reportage sur la cigale maintenant engraissée. Elle est en train de  finir les dernières provisions de la fourmi bien que le printemps soit  encore loin.


    L'ancienne maison de la fourmi, devenue logement social pour la cigale, se détériore car cette dernière n'a rien fait  pour l'entretenir.


    Des reproches sont faits au gouvernement pour le  manque de moyens.


    Une commission d'enquête est mise en place, ce  qui  coûtera 10 millions d'euros.


    La cigale meurt d'une  overdose.


    Libération et L'Humanité commentent l'échec du gouvernement à redresser sérieusement le problème des inégalités sociales.


    La maison est squattée par un gang d'araignées immigrées.


    Le gouvernement se félicite de la diversité multiculturelle de la France.


    Les araignées organisent un trafic de  marijuana et terrorisent la communauté.
    FIN