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Réseau des Bretons de l'Etranger - Page 13

  • Présidentielle. François Bayrou : le grand oral du candidat du MoDem

    Source: http://www.letelegramme.com/presidentielle-2012/presidentielle-francois-bayrou-le-grand-oral-du-candidat-du-modem-09-03-2012-1626616.php?xtor=EPR-3-[quotidien]-20120309-[detailarticle]

     "Quelque chose de crépusculaire" dans les propos de Sarkozy

    Suite aux propos du président-candidat Nicolas Sarkozy, qui a dit qu'il quitterait la vie politique s'il était battu, François Bayrou a déclaré que "lorsque Nicolas Sarkozy s'exprime ainsi, on a l'impression qu'il prépare sa sortie. Il y a quelque chose d'un peu crépusculaire dans la manière dont il présente les choses : sur votre plateau, la multiplication des mea culpa et l'annonce aujourd'hui qu'il se retirera de la politique, qu'il abandonnera, parce que, dit-il, "j'aurai une belle carrière politique derrière moi"".
    Pourrait-il lui aussi quitter la politique en cas d'échec dans sa troisième course à l'Elysée ? "Certainement pas !", a répondu du tac au tac M. Bayrou, qui a confié n'avoir "jamais envisagé l'échec". 


     

    Sondage du jour : 13 % des votes pour Bayrou
    Selon le sondage du jour, François Bayrou est crédité de 13 % au premier tour (sondage Opinionway effectué du 5 au 7 mars). Il arrive derrière François Hollande (29 %), Nicolas Sarkozy (26 %) et Marine Le Pen (17 %). En retrait depuis la rentrée, le député des Pyrénées-Atlantiques doit retrouver un nouveau souffle.

  • Macroéconomie niveau C.P.

    Macroéconomie niveau C.P.

    Je sais, par avance, que ce petit schéma va paraître simpliste, pour ne pas dire infantile, à tous nos grands experts de l'économie. Ceci étant et avant de le mépriser, il n'en possède pas moins la vertu de mettre en évidence une bonne partiesdes interactions que, selon qu'ils sont de Droite ou de Gauche, certains semblent pudiquement glisser sous le tapis ou, au contraire, privilégier alors que tout est, évidemment, lié et que le simple fait d'agir sur un seul paramètre impose de prendreles autres en comptes.

    L'équilibre budgétaire.

    La règle, d'une simplicité biblique, consiste, tout bêtement, à faire en sorte que les dépenses ne soient pas supérieures aux recettes ou bien, et si par malheur c'est le cas, de tout faire pour que cette situation ne reste que de courte durée, pour la même raison que lorsque vous êtes à "découvert", celle ne pas voir vos agios atteindre, un jour, un montant tel que vous soyez dans l'incapacité de rembourser...

    Dès lors que l’État, au sens large du terme, est sensé ne pas rester en "déficit" trop longtemps ou ne pas l'être d'unemanière trop flagrante, il ne peut agir, en gros, que sur trois leviers, trois leviers qui lui sont accessibles et dont il est maître. Le premier consiste à augmenter les prélèvements, le deuxième, lui, à réduire ses dépenses et le troisième, recours facileélectoralement indolore car quasi invisibleà emprunter pour boucler ses fins de mois y compris pour ses dépenses courantes.

    Bien évidemment, notre petit État pris comme exemple "scolaire", a tout loisir d'agir sur l'un, sur l'autre, sur le troisième voire même, à des niveaux divers et adaptés, sur les trois à la fois. En ce qui nous concerne, force est de reconnaître qu'il a du paraître bien moins douloureux, sur l'instant, de laisser se creuser la dette avec, pourconséquence inéluctable, la flambée du montant cumulé des intérêts de celle-ci, que d'avoir le courage politique detailler dans le vifdans l'intérêt, certes lointain, des générations futures et non dans celui de l'échéance électorale immédiate avec, peut-être aussi, l'éventuelle satisfaction perverse de refiler la patate chaude au successeur.

    Si, au moment de la Révolution de 1789, le service de la dette, c’est-à-dire le simple remboursement des intérêts, étaitle second poste budgétaire de la Nation, aujourd'hui, en atteignant rien moins que le montant annuel de 50 milliards, soit ce que rapporte l'impôt sur le revenu, il est devenu le premier poste budgétaire de l’État, devant celui del’Éducation Nationale...

    Si, grâce à la RGPP* et à la LOLF**, une véritable inflexion des dépenses publiques a été initiée depuis 2002, celle-ci n'est pas encore suffisante pour produire des effets palpables et c'est, d'ailleurs, ce qui vient de nous coûter notre triple A, tout en restant, malgré tout, sur une marche tout à fait honorable du podium des agences de notation avec, pour consécration, des taux particulièrement bas malgré les avis éclairés de certains oiseaux de mauvais augure qui ont très probablement, et en cette occasion, confondu analyse objective et ... argumentaire électoral.

    Les trois incontrôlables.

    Si le Gouvernement a la main sur les dépensesles recettes et l'éventuel recours à l'emprunt, il n'est pas en mesure d'agir sur les trois inconnues que sont la Croissancela Consommation et la balance Commerciale.

    On peut, raisonnablement, supposer que tout Ministre des Finances en serait particulièrement heureux mais ce n'estpas le cas. Et pourtant, depuis quarante ans, on nous a servi des prévisions de croissance aussi fiables etprécises qu'un numéro de divination digne de la célèbre Madame Miroska de mon enfance, aboutissant, en général, à un chiffre inférieur de moitié à celui escompté et, de ce fait, à des dépenses engagées sur la base d'un chiffre faux par optimisme. Je pense complètement inutile d'expliquer que, si les dépenses sont au rendez-vous, mais pas les recettes, ce sera au Peuple de mettre la main à la poche avec le recours habituel aux "recettes de celle-ci" ou à ces fort utiles Lois de Finance Rectificatives.

    Le modeste dessin, ci-dessus, montre clairement qu'en fonction de l'état de gonflement des différents ... "ballons", notre jolie balance, avec les mêmes prélèvements et lesmêmes dépenses, s'inclinera préférentiellement vers le mauvais ou le bon côté, vers le déficit ou l'excédent budgétaire ou bien encore, sous une formulation qui concerne notre vie quotidienne, vers une augmentation ou une réduction des prélèvements obligatoires.

    Une navigation à vue.

    Tout l'art, car c'en est un, va consister à placer les différents curseurs au bon niveau. Une réduction trop lente, trop homéopathique, de l'endettement n'est pas nécessairement suffisante pour entraîner un allègement des intérêts mais, en contrepartie, elle n'aura qu'un faible impact sur la consommation et la croissance. Au contraire, et à l'image de ce qui se passe en Grèce, une réductionimportante et brutale, de l'ensemble des dépenses de l’État va réduire drastiquement la dette, c'est évident, mais la consommation va s'écrouler et la croissance ne sera plus qu'un lointain souvenir.

    Entre ces deux extrêmes, toutes les solutions intermédiaires sont envisageables, mais la moindre décision qui aura un impact négatif sur le pouvoir d'achat va, et c'est bien naturel, orienter le consommateur vers des produits à bas prix donc, le plus souvent et malheureusement, importés, ce qui ne manquera pas de contribuer au déficit de la balance commerciale mais, là, nous abordons les rives escarpées des notions de compétitivité.

    La gestion budgétaire d'un Pays pourrait, aisément, se comparer au fait de naviguer sur une mer inconnuecapricieusetruffée d'écueils, invisibles pour certains, avec lacontrainte supplémentaire, par manque de vivres, d'arriver le plus rapidement possible à bon port en sachant, par avance, que la moindre erreur aura autant d'impacts sociaux que de conséquences financières. Le faire par temps calme n'est déjà pas nécessairement une sinécure, pratiquer cet exercice dans la tempête, par vent contraire, dans le brouillard et, le tout, sous l'oeil de l'Opposition du moment n'attendant qu'une chose, et au mépris de la vie des passagers, celle de voir le navire se briser sur les récifs ne peut que me conforter dans mon refus de faire de la Politique.

    Règle d'or ... ou simple évidence.

    Je reconnais, finalement, ne pas très bien parvenir à comprendre les arguments de ceux qui réfutent cette "Règle" alors qu'elle n'est, sur le fond, qu'une banale évidence dont nous n'aurions jamais dû nous éloigner et, surtout, depuis tant de dizaines d'années. mais, que voulez-vous, une élection n'a pas de prixsauf, ensuite, pour le contribuable.

    *  : RGPP, Réforme générale des Politiques Publiques.
    ** : LOLF, Loi Organiques des Lois de Finance.

  • Election des députés représentant les Bretons et les Français de l’étranger en 2012 (9ème circonscription)

    LA MARSA (TUNISIE) — Associations BREIZH 2004BRETAGNE LIBERTÉ et RÉSEAU DES BRETONS DE L’ÉTRANGERen Bretagne, UNION DES FAMILLES EUROPÉENNES en Tunisie .

    Bonjour à tous,

    Vous participerez bientôt à l’élection des députés représentant les Français de l’Étranger en 2012 (9ème circonscription: Algérie ; Maroc ; Libye, Tunisie ; Burkina, Mali, Niger ; Mauritanie ; Cap-Vert, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Sénégal, Sierre Leone ; Côte-d’Ivoire, Liberia) :

    En juin 2012, pour la première fois, 11 députés représentant les Français établis hors de France seront élus pour siéger à l’Assemblée nationale. Comme il y a 4 millions de Bretons établis à l’étranger et 2,5 millions de Français, notre candidature aura forcément un impact politique.

    Il n’y a pas, dans cette joute politique, de vedettes médiatiques. Alors, on peut se poser la question : à quoi bon ?

    Pourtant je me sens concerné parce que la vie de ces millions d’expatriés je la partage. Parce que la plupart d’entre eux ne sont pas des évadés fiscaux, qui cherchent à mettre leurs lingots en lieu sûr. La plupart d’entre eux ne sont pas des“nantis”. La plupart sont des citoyens “ordinaires”, souvent écœurés par le monde politique dans son ensemble et qui bien souvent préfèrent s’abstenir que donner leurs voix au candidat qui leur semblent non pas le meilleur, mais seulement le “moins pire”.

    Les Bretons et Français de l’Étranger peuvent en effet se demander à quoi bon voter pour des candidats qui jamais ne proposent ce qu’ils espèrent, ou se contentent de faire des promesses dont nous savons parfaitement qu’elles ne seront jamais tenues.

    Certains continueront de compter sur les autres pour agir à leur place. Si nous attendons toujours que ce soit l’autre qui fasse le premier pas, ce n’est pas ainsi que nous obtiendrons le changement et c’est bien ce genre d’attitude qui nous a mené où nous en sommes.

    Voilà, c’est ce pourquoi je vous recommande de voter pour Yannick URRIEN, tout simplement pour donner la parole à ces millions de silencieux.

    2205659236http://www.yannickurrien.fr/

    Bien cordialement

    Claude Guillemain

    Réseau des Bretons de l’Étranger - RBE –

    32, rue du Maroc

    2070 LA MARSA

    Tunisie

    Tel:  + 216 71 982 304

    GSM:  + 216 21 83 53 59

    E-Mail: rbe.international@gmail.com

    Website: [Voir le site]

    Skype: klaodgillamaen ■

    Le RBE, installé en Tunisie, met en place un concept de réseau d’entreprises françaises et bretonnes en Tunisie, avec l’objectif de créer de nouvelles TPE Tunisiennes, créer des marques (nom, logo, concept), et appuyer ces entreprises par la microfinance. Notre but est de porter, sous le même nom, plusieurs entreprises se référant à la même enseigne, fonctionnant “en grappes” et engendrant entre autre des économies de communication. Nous avons également créé le Club de Microfinance de La Marsa. Voir le site