Nicolas Sarkozy, en conférence de presse à l'issue du sommet du G20, le 2 avril 2009 à Londres./REUTERS/Philippe Wojazer
REACTIONS - Les dirigeants rivalisent d'enthousiasme pour le qualifier...
Le Premier ministre britannique Gordon Brown a ouvert le bal en déclarant qu'«un nouvel ordre mondial émerge et avec lui nous entrons dans une nouvelle ère de coopération internationale».
Nicolas Sarkozy s'est déclaré «heureux» des résultats accomplis par le G20 de Londres en matière de régulation du système financier international, qui vont «au-delà de ce que nous pouvions imaginer». «C'est du jamais vu!» a-t-il répété en conférence de presse.
Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, a considéré que les annonces faites par le sommet du G20 représentaient «le plus grand plan de relance coordonné jamais décidé».
Angela Merkel a estimé que l'accord trouvé au G20 représentait un «compromis historique pour une crise exceptionnelle». Selon la chancelière allemande, les négociations entre les dirigeants ont été «dures», notamment en raison des divergences entre les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et le Japon d'un côté et la France et l'Allemagne de l'autre sur une augmentation de la relance budgétaire, favorisée par les premiers et rejetée par les seconds.
Le président russe Dmitri Medvedev a considéré que le résultat du G20 de Londres constituait «un pas dans la bonne direction», tout en estimant que ses discussions avec le président américain Barack Obama avaient été «bonnes» mais sans offrir «de progrès substantiels».
Le président américain n'a pas vraiment répondu. Barack Obama a assuré que le sommet a été «très productif» et constitue un «tournant» par «l'ensemble sans précédent d'actions coordonnées» qui y ont été décidées. En attendant la réaction du président américain, les Etats-Unis ont salué les engagements «remarquables» pris par les dirigeants du G20 jeudi à l'issue de leur sommet de Londres, selon les termes d'un responsable américain.
Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a salué le résultat «plus ambitieux qu'attendu», fruit d'un «rude travail» et d'une «action collective», qui permettront de remettre l'économie mondiale «sur ses pieds» dans les mois à venir. «Nous avons dit ce que nous ferons, maintenant nous allons faire ce que nous avons dit», a-t-il promis.
Nicolas Sarkozy s'est déclaré «heureux» des résultats accomplis par le G20 de Londres en matière de régulation du système financier international, qui vont «au-delà de ce que nous pouvions imaginer». «C'est du jamais vu!» a-t-il répété en conférence de presse.
Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, a considéré que les annonces faites par le sommet du G20 représentaient «le plus grand plan de relance coordonné jamais décidé».
Angela Merkel a estimé que l'accord trouvé au G20 représentait un «compromis historique pour une crise exceptionnelle». Selon la chancelière allemande, les négociations entre les dirigeants ont été «dures», notamment en raison des divergences entre les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et le Japon d'un côté et la France et l'Allemagne de l'autre sur une augmentation de la relance budgétaire, favorisée par les premiers et rejetée par les seconds.
Le président russe Dmitri Medvedev a considéré que le résultat du G20 de Londres constituait «un pas dans la bonne direction», tout en estimant que ses discussions avec le président américain Barack Obama avaient été «bonnes» mais sans offrir «de progrès substantiels».
Le président américain n'a pas vraiment répondu. Barack Obama a assuré que le sommet a été «très productif» et constitue un «tournant» par «l'ensemble sans précédent d'actions coordonnées» qui y ont été décidées. En attendant la réaction du président américain, les Etats-Unis ont salué les engagements «remarquables» pris par les dirigeants du G20 jeudi à l'issue de leur sommet de Londres, selon les termes d'un responsable américain.
Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a salué le résultat «plus ambitieux qu'attendu», fruit d'un «rude travail» et d'une «action collective», qui permettront de remettre l'économie mondiale «sur ses pieds» dans les mois à venir. «Nous avons dit ce que nous ferons, maintenant nous allons faire ce que nous avons dit», a-t-il promis.
J.M. avec agence